19
mai
2022
Finances locales – conjoncture économique – défis d’avenir : l’APVF demande au nouveau Gouvernement la réunion rapide d’une Conférence des exécutifs locaux

Finances locales – conjoncture économique – défis d’avenir : l’APVF demande au nouveau Gouvernement la réunion rapide d’une Conférence des exécutifs locaux

Finances et fiscalité locales

Dans un communiqué de presse diffusé le 18 mai, l’APVF a tenu à alerter le nouveau Gouvernement sur les risques de dégradation du service public de proximité et de contraction de l’investissement local si la conjoncture économique devait perdurer. Les budgets locaux, et notamment ceux des petites villes, ont jusqu’ici été résilients, mais la visibilité …

Dans un communiqué de presse diffusé le 18 mai, l'APVF a tenu à alerter le nouveau Gouvernement sur les risques de dégradation du service public de proximité et de contraction de l’investissement local si la conjoncture économique devait perdurer.

Les budgets locaux, et notamment ceux des petites villes, ont jusqu’ici été résilients, mais la visibilité financière est désormais beaucoup plus incertaine sur le moyen et long terme. En 2022, les budgets des petites villes demeurent encore marqués par la crise sanitaire, avec une hausse assez soutenue des dépenses de personnel. De manière plus inédite, ces derniers mois sont également marqués par la hausse généralisée des prix. L’impact se fait sentir sur les dépenses à caractère général qui peuvent augmenter dans certaines petites villes jusqu’à + 20 % (denrées alimentaires dans la restauration scolaire, matériel informatique, carburant, fonctionnement des équipements...). Certaines petites villes voient leurs dépenses d’énergie bondir parfois de plus de 50 %. Ce choc conjoncturel ne sera pas facile à absorber malgré la réalisation d’économies d’énergies ou le report, voire l’annulation, de certains investissements. L’APVF constate que de nombreuses petites villes ont vu leur épargne et leur capacité d’autofinancement diminuer en 2021 et en 2022, avec un vrai risque de dégradation des services publics de proximité et, par conséquent, d’accroissement des fractures territoriales et sociales.

Dès lors, une mise à contribution des collectivités territoriales à hauteur de 10 milliards d’euros, pourrait être très préjudiciable de même qu’une éventuelle suppression de la CVAE. D’une part les collectivités territoriales ne disposent plus de marges suffisantes pour réduire encore leurs dépenses de fonctionnement sauf à remettre en cause le bon fonctionnement des services publics et, d’autre part, parce que ces décisions ne permettraient pas aux collectivités territoriales de participer efficacement au plan de relance et au soutien de l’activité économique, alors même que la croissance est en train de fléchir très nettement.

Face à la gravité des enjeux qui nécessitent plus que jamais l’établissement de relations d’étroites confiance entre l’Etat et les collectivités territoriales, l’APVF demande au nouveau Gouvernement de réunir sans tarder une Conférence des exécutifs locaux avec les principales associations d’élus afin d’établir, pour la législature, les conditions d’un véritable pacte de confiance et définir les grands objectifs des politiques d’avenir comme la santé, le grand âge et la transition écologique, ces défis ne pouvant pas être relevés sans la forte implication des collectivités territoriales.

Comme elle l’a toujours fait, c’est dans une démarche exigeante et constructive que l’APVF entend inscrire ses relations avec le nouveau Gouvernement qu’elle invite à tirer les leçons de la fracture politique territoriale nettement apparue au cours du scrutin présidentiel.

Toutes ces interrogations seront bien sûr abordées au cours des XXIVème Assises de l’APVF qui se dérouleront à Dinan, Côtes-d’Armor, les 15 et 16 septembre prochains.

Télécharger le communiqué de presse 

19
mai
2022
Environnement et pesticides : Identification des bonnes pratiques  

Environnement et pesticides : Identification des bonnes pratiques  

Ville intelligente et durable

Plante et Cité, organisme national d’études et d’expérimentations spécialisé dans les espaces verts, lance un appel à signalement  afin d’identifier les démarches mises en place par les communes et EPCI pour encourager l’adoption de pratiques économes en pesticides et pour réduire leurs impacts sur la qualité de l’eau, l’environnement et les habitants. Cet appel s’adresse …

Plante et Cité, organisme national d’études et d’expérimentations spécialisé dans les espaces verts, lance un appel à signalement  afin d'identifier les démarches mises en place par les communes et EPCI pour encourager l'adoption de pratiques économes en pesticides et pour réduire leurs impacts sur la qualité de l'eau, l'environnement et les habitants.

Cet appel s’adresse aux collectivités et réseaux locaux d’accompagnement des communes. Le but est d’identifier les leviers d'actions des collectivités en matière d'urbanisme, d'aménagement, de gestion et de concertation pour les partager sous forme d'un guide / recueil d'exemples à toutes les communes. Cet appel à signalements est conduit dans le cadre d'une étude réalisée par le centre technique Plante & Cité, soutenue par le Ministère de la Transition Ecologique et l'OFB via le plan Ecophyto.

Pour répondre à l’appel, cliquez ici.

19
mai
2022
Hausse de la dotation des titres sécurisés

Hausse de la dotation des titres sécurisés

Services publics

Depuis 2018, les communes peuvent recevoir une « dotation pour les titres sécurisés » pour enregistrer les demandes de passeports et de cartes d’identité. La hausse des demandes, liée à la levée des restrictions sanitaires, amènent le gouvernement à renforcer son soutien. Les communes équipées de stations d’enregistrement de demandes de passeports et de cartes nationales d’identité …

Depuis 2018, les communes peuvent recevoir une « dotation pour les titres sécurisés » pour enregistrer les demandes de passeports et de cartes d’identité. La hausse des demandes, liée à la levée des restrictions sanitaires, amènent le gouvernement à renforcer son soutien.

Les communes équipées de stations d’enregistrement de demandes de passeports et de cartes nationales d’identité reçoivent une dotation appelée « dotation pour les titres sécurisés (DTS)».

Cette dotation se compose d’une part forfaitaire et d’une majoration. En effet, la part forfaitaire est de 8580 euros par station et par an ; la part de majoration, égale à 3 550 euros par an, est accordée pour chaque station ayant enregistré plus de 1 875 demandes de passeports et de cartes nationales d’identité.

L’enveloppe pour cette dotation est de 48 millions d’euros en 2022.

Outre la dotation existante, l’Etat prévoie de mobiliser 10 millions d’euros supplémentaires pour les communes qui se mobiliseront (…) par la prise en charge de dispositifs de recueil supplémentaires et l’augmentation des créneaux de rendez-vous.

Cette enveloppe sera subdivisée en trois parts :

  • Une part forfaitaire à tous les nouveaux Dispositifs de Recueil (DR) installés entre le 1er avril et le 31 juillet à hauteur de 4 000€ par DR ;
  • Une part attribuée aux DR installés au 31 mars dont le taux d’utilisation moyen entre le 1er avril et le 31 juillet augmente de plus de 40% par rapport à la moyenne annuelle 2021 à hauteur d’environ 2 500€ ;
  • Une part attribuée aux DR installés au 31 mars dont le taux d’utilisation dépasse en moyenne le seuil de 90% du taux d’utilisation sur la période 1er avril-31 juillet à hauteur d’environ 2 500€.

19
mai
2022
La France a transmis à la commission européenne son programme de réformes

La France a transmis à la commission européenne son programme de réformes

Réforme territoriale et gouvernance locale, Services publics, Europe

Conformément aux obligations européennes, la France a transmis à la Commission européenne au début du mois de mai, son programme de réformes. Ce programme s’inscrit dans un contexte de difficultés économiques croissantes pour l’ensemble des Etats du vieux continents. La France a transmis à la Commission européenne son programme national de réforme 2022 (PNR) dans …

Conformément aux obligations européennes, la France a transmis à la Commission européenne au début du mois de mai, son programme de réformes. Ce programme s’inscrit dans un contexte de difficultés économiques croissantes pour l’ensemble des Etats du vieux continents.

La France a transmis à la Commission européenne son programme national de réforme 2022 (PNR) dans le cadre du semestre européen. Outre le bilan de la politique gouvernementale, le document présente l’état de la mise en œuvre du Plan National de Relance et de Résilience (PNRR), volet français du plan de relance européen.

4 grands défis

Le gouvernement met en évidence 4 grands défis auxquels la France devra répondre :

  • « Investir dans la transition écologique et incarner l’écologie du quotidien »
  • « Construire une société de production résiliente, durable, de connaissances et de compétences »
  • « Refonder l’Etat providence pour une société plus juste »
  • « Poursuivre la modernisation et la rationalisation de l’Etat et des services publics »

Satisfecit gouvernemental pour les réformes liées aux collectivités

Concernant les collectivités, le gouvernement souligne par ailleurs qu’il a engagé les réformes ayant permis à l’administration d’Etat de se « rapprocher des territoires », avec la loi organique relative à la simplification des expérimentations du 19 avril 2021 mais également une plus grande « proximité, lisibilité et efficacité de l’action publique » avec la loi dite « 3DS » du 21 février 2022.

Un horizon économique qui s’assombrit

Le gouvernement souligne par ailleurs que l’ensemble des mesures d’urgence, mises en œuvre durant la crise sanitaire ont vocation à ne persister qu’autant que cela est nécessaire. Dans quelle mesure les nouvelles prévisions économiques peuvent-elles amener le gouvernement à poursuivre sa politique du « quoiqu’il en coûte » ?

La Commission européenne a en effet abaissé ses prévisions de croissance du PIB pour la France, en passant de 4% à 2,7%, l’une des plus importante correction de son histoire. L’inflation pourrait en outre atteindre 6,8% en Europe selon Bruxelles, alors que la hausse des taux directeurs par la Banque Centrale Européenne promise pour juillet ne sera probablement pas suffisante pour juguler le phénomène.

 

Télécharger le programme national de réforme 2022

19
mai
2022
Indépendance énergétique de l’UE : les collectivités au cœur de la stratégie

Indépendance énergétique de l’UE : les collectivités au cœur de la stratégie

Ville intelligente et durable

La Commission européenne a présenté le 18 mai dernier un plan pour mettre fin à la dépendance européenne au gaz russe tout en luttant contre le changement climatique. Pour rappel, 45 % du gaz européen importé vient de Russie. Pour la France, ce chiffre tombe à 20 %.  Ce plan s’articule en 3 grands axes : …

La Commission européenne a présenté le 18 mai dernier un plan pour mettre fin à la dépendance européenne au gaz russe tout en luttant contre le changement climatique. Pour rappel, 45 % du gaz européen importé vient de Russie. Pour la France, ce chiffre tombe à 20 %. 

Ce plan s’articule en 3 grands axes :

  • Diversification d'approvisionnement énergétique via notamment le GNL.
  • Déploiement des énergies renouvelables et notamment du biogaz, du solaire et des réseaux de chaleur. La simplification des procédures doit permettre d’accélérer le développement des projets.
  • Economies d’énergie : La commission mise sur l’accélération de la rénovation énergétique mais aussi sur les gestes du quotidien pour baisser la dépendance énergétique du continent à l’égard de la Russie.

Pour y arriver d'ici 2030, l’UE prévoit de mobiliser de 200 à 300 milliards d’euros. Ces projets seront financés par l’arrêt des importations de gaz russe mais aussi par le recours au fonds européens. Les Etats pourront également recourir à des prêts.

L’UE compte également s’appuyer fortement sur les collectivités territoriales. C’est au niveau local que tout se joue comme le répète l’APVF depuis déjà un certain temps. Les unités de méthanisation, les réseaux de chaleur, les rénovations énergétiques et les économies d’énergie sont des projets avant tout locaux. C’est pourquoi la Commission a souligné à plusieurs reprises le rôle clé des territoires pour renforcer l'indépendance énergétique du continent.

19
mai
2022
Congrès de Sites et Cités remarquables de France : RDV à Dax les 30 juin et 1er juillet ! 

Congrès de Sites et Cités remarquables de France : RDV à Dax les 30 juin et 1er juillet ! 

Culture et patrimoine

Sites et Cités remarquables de France organise son Congrès national à Dax les 30 juin et 1er juillet consacré au sujet “Centres anciens : enjeux climatiques et écologiques”. Ce congrès portera sur deux thèmes : La célébration des 60 ans de la loi Malraux en 1962 et la création des secteurs sauvegardés. Il s’interrogera sur …

Sites et Cités remarquables de France organise son Congrès national à Dax les 30 juin et 1er juillet consacré au sujet "Centres anciens : enjeux climatiques et écologiques".

Ce congrès portera sur deux thèmes :

  1. La célébration des 60 ans de la loi Malraux en 1962 et la création des secteurs sauvegardés. Il s’interrogera sur les dispositifs qui ont suivi et complété la panoplie des instruments mis au service des politiques patrimoniales, dont le label Ville et Pays d’Art et d’Histoire.
  2. Le second sujet concernera les conséquences du réchauffement climatique sur les centres anciens, la ville, l’habitat. Quelles sont d’ores et déjà et quelles seront les décisions à prendre pour préserver les villes ? Quel est leur potentiel d’innovation, que ce soit dans le traitement urbain ou dans la réhabilitation du bâti ? Comment les faire évoluer vers des espaces durables et désirables dans un environnement dont on sait aujourd’hui qu’il sera bouleversé ?

Télécharger le programme complet du congrès 

19
mai
2022
L'APVF adresse ses félicitations à la Première ministre et la convie à ses prochaines Assises 

L'APVF adresse ses félicitations à la Première ministre et la convie à ses prochaines Assises 

Dans un courrier en date du mardi 17 mai, Christophe Bouillon, Président de l’APVF, a écrit à la nouvelle Première ministre Elisabeth Borne.  L’APVF a souhaité par cette lettre adresser ses félicitations républicaines les plus sincères à Mme Borne. Fidèle à sa vocation, “exigeante et constructive”,  l’APVF a indiqué sa disponibilité pour établir des relations …

Dans un courrier en date du mardi 17 mai, Christophe Bouillon, Président de l'APVF, a écrit à la nouvelle Première ministre Elisabeth Borne. 

L'APVF a souhaité par cette lettre adresser ses félicitations républicaines les plus sincères à Mme Borne.

Fidèle à sa vocation, "exigeante et constructive",  l'APVF a indiqué sa disponibilité pour établir des relations de confiance avec le nouveau gouvernement sur les principaux dossiers ayant trait aux relations entre l'Etat et les collectivités.

Ce courrier a également été l'occasion de rappeler à la Première ministre la profonde fracture territoriale mesurée lors des résultats de l'élection présidentielle ainsi que l'importance de la strate représentée par les petites villes, véritable interface entre le monde rural et les métropoles.

Enfin, l'APVF a convié Mme Borne aux prochaines Assises de l'APVF qui se tiendront à Dinan, Côtes-d'Armor, les 15 et 16 septembre prochains.

Télécharger le courrier adressé à Elisabeth Borne

12
mai
2022
Victoires du Paysage 2022 : encore 7 jours pour vous inscrire !

Victoires du Paysage 2022 : encore 7 jours pour vous inscrire !

Ville intelligente et durable, Attractivité et aménagement du territoire

Les Victoires du Paysage, reviennent pour une 8ème édition avec l’ouverture officielle des inscriptions jusqu’au 16 mai 2022. Par la mise en lumière de maîtres d’ouvrage exemplaires, ce concours national  dont l’APVF est partenaire a pour objectif de valoriser les commanditaires – élus, organismes sociaux, chefs d’entreprise et particuliers – ayant eu recours à la …

Les Victoires du Paysage, reviennent pour une 8ème édition avec l’ouverture officielle des inscriptions jusqu’au 16 mai 2022. Par la mise en lumière de maîtres d’ouvrage exemplaires, ce concours national  dont l'APVF est partenaire a pour objectif de valoriser les commanditaires – élus, organismes sociaux, chefs d’entreprise et particuliers – ayant eu recours à la démarche paysagère dans leurs projets d’aménagement.  Il est organisé par Val'hor, l'interprofession française de l'horticulture, de la fleuristerie, et du paysage. 

Qui peut candidater ?

A toutes les échelles, collectivités, bailleurs, entreprises ou particuliers ayant eu recours aux professionnels du paysage (paysagistes concepteurs, entreprises du paysage, pépiniéristes et horticulteurs) peuvent s’inscrire aux Victoires du Paysage pour proposer un aménagement de moins de 5 ans, soit achevé entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2020, dans les catégories :

-    Espaces publics urbains,

-    Parcs ou jardins

-    Aménagements de quartier

-    Espaces à dominante naturelle

-    Infrastructures

-    Sièges sociaux ou lieux d’activité économique,

-    Logements et immobilier

-    Jardins de particuliers.

 

Jury et visites  

Tous les sites présélectionnés fin mai seront visités entre juin et septembre 2022 par des jurys de professionnels du végétal et du paysage. Ils sillonneront la France pour évaluer in situ les  aménagements  et apprécier la qualité des relations entre tous les acteurs des projets : maîtres d’ouvrage et professionnels du paysage.

Le palmarès final sera révélé le 8 décembre 2022.

 

Découvrir en image tous les lauréats 2020

Pour s'inscrire jusqu'au 16 mai 2022  

 

 

12
mai
2022
Election présidentielle dans les Petites Villes de Demain : des résultats plus nuancés que les scores nationaux

Election présidentielle dans les Petites Villes de Demain : des résultats plus nuancés que les scores nationaux

A l'approche des élections

Une première analyse des résultats dans les communes bénéficiant du programme Petites Villes de Demain (PVD) laissent entrevoir une tripartition du paysage politique. Elle apparaît néanmoins moins marquée dans les PVD. Au premier tour : une tripartition moins marquée La tripartition politique du pays, constatée lors des élections présidentielles, se confirme dans les petites villes. …

Une première analyse des résultats dans les communes bénéficiant du programme Petites Villes de Demain (PVD) laissent entrevoir une tripartition du paysage politique. Elle apparaît néanmoins moins marquée dans les PVD.

Au premier tour : une tripartition moins marquée

La tripartition politique du pays, constatée lors des élections présidentielles, se confirme dans les petites villes. Néanmoins, les lignes de fractures apparaissent moins marquées.

Ainsi, sur les 1645 PVD, Marine Le Pen arrive en tête dans 886 communes, soit dans 54% d'entre elles. Emmanuel Macron quant à lui recueille le plus de voix au premier tour dans 640 communes, soit 39% des PVD.

Pour compléter le tableau, le candidat Jean-Luc Mélenchon recueille le plus de suffrages dans seulement 7% des PVD (118 communes). Ce résultat est à mettre en perspective avec le score de M. Mélenchon dans les communes de moins de 20 000 habitants où ses résultats sont inférieurs à sa moyenne nationale. En effet, M. Mélenchon recueillait en moyenne 17,6% des voix dans les communes de moins de 20 000 habitants contre 22% au niveau national.

Outre les trois principaux candidats, un seul réussi à virer en tête dans une PVD à l'issue du premier tour : il s'agit de Fabien Roussel dans la commune de la Grand-Combe, dirigée par l'édile communiste Patrick Malavieille.

Au second tour : une majorité de PVD opte pour Macron

Tandis que Marine le Pen était en tête dans une majorité de PVD à l'issue du premier tour, la candidate du Rassemblement National a perdu son avantage au second. Ainsi, 56% des communes PVD ont voté majoritairement Emmanuel Macron ; 44% pour Mme Le Pen.

Au vu des résultats du premier tour, où M. Macron a réalisé un score inférieur à son score national dans 1 052 PVD (64% des PVD), ce revirement souligne la mobilisation d'une certaine frange de l'électorat face au vote Le Pen.

 

12
mai
2022
Capteurs de CO2 : extension de la subvention

Capteurs de CO2 : extension de la subvention

Santé

Le ministère de l’Éducation Nationale  a décidé d’étendre les subventions à l’achat des capteurs de CO2 dans les établissements scolaires jusqu’à la fin de l’année scolaire. L’Etat propose un soutien financier aux collectivités territoriales qui souhaitent acquérir des capteurs de CO2. Cet accompagnement prend la forme d’une subvention de 8€ par élève, sans plafond unitaire …

Le ministère de l’Éducation Nationale  a décidé d'étendre les subventions à l'achat des capteurs de CO2 dans les établissements scolaires jusqu'à la fin de l'année scolaire.

L'Etat propose un soutien financier aux collectivités territoriales qui souhaitent acquérir des capteurs de CO2. Cet accompagnement prend la forme d’une subvention de 8€ par élève, sans plafond unitaire de prise en charge par capteur. Pour une école de 200 élèves, une commune peut donc recevoir une subvention de 1600€.

La subvention est versée sur facture, dans la limite de la dépense réellement effectuée.

 

Le Gouvernement a décidé que ce dispositif, qui devait couvrir les achats effectués jusque fin avril 2022, serait prolongé jusqu’à la fin de l’année de scolaire.

 

 

 

Avis du 21 janvier 2022 du Haut Conseil de la Santé Publique