ESPACE MEMBRE

Rencontre Territoriale des Maires des petites villes de la région Hauts de France
L’Association des Petites Villes de France (APVF), présidée par Christophe Bouillon, maire de Barentin, organise le 11 décembre 2025 les Rencontres territoriales des maires des petites villes de la région Hauts-de-France, en partenariat avec La Banque Postale. Accueillie à l’Hôtel de Ville de Lille, cette rencontre régionale sera placée sous le thème :« Budgets communaux …
L’Association des Petites Villes de France (APVF), présidée par Christophe Bouillon, maire de Barentin, organise le 11 décembre 2025 les Rencontres territoriales des maires des petites villes de la région Hauts-de-France, en partenariat avec La Banque Postale.
Accueillie à l’Hôtel de Ville de Lille, cette rencontre régionale sera placée sous le thème :
« Budgets communaux : faire face aux chocs et préparer l’avenir ».
Cette matinée d’échanges sera consacrée à l’analyse des principales mesures du projet de loi de finances pour 2026, à leurs impacts pour les petites villes et aux stratégies locales permettant de consolider la trajectoire financière des communes.
Inscription à l'événement (attention places limitées)

Commission Mobilités de l’APVF
Covoiturage à la demande : une solution pour nos petites villes ? Face aux défis de la mobilité dans nos territoires, le covoiturage à la demande se présente comme un levier complémentaire aux transports collectifs existants. Cette séance de la Commission Mobilités de l’APVF sera l’occasion d’échanger sur les possibilités offertes par ce service pour …
Covoiturage à la demande : une solution pour nos petites villes ?
Face aux défis de la mobilité dans nos territoires, le covoiturage à la demande se présente comme un levier complémentaire aux transports collectifs existants. Cette séance de la Commission Mobilités de l’APVF sera l’occasion d’échanger sur les possibilités offertes par ce service pour améliorer les déplacements du quotidien au bénéfice de nos petites villes. Vous pouvez vous inscrire sur ce lien pour participer.
Intervenants :
-
Sylvain Laval, maire de Saint-Martin-le-Vinoux, représentant Mobilités de l’APVF
-
Adrien Tahon, Senior Vice President, BlaBlaCar
Mercredi 26 novembre 2025
Visioconférence

Webinaire « Tribunes libres, droits et obligations du maire »
L’Association des Petites Villes de France (APVF) vous convie au webinaire « Tribunes libres, droits et obligations du maire », le jeudi 13 novembre 14h30-16h00. Le code général des collectivités territoriales consacre le droit des élus d’opposition à s’exprimer dans les supports de communication institutionnelle de la commune, mais la loi est laconique et seule la jurisprudence …
L’Association des Petites Villes de France (APVF) vous convie au webinaire « Tribunes libres, droits et obligations du maire », le jeudi 13 novembre 14h30-16h00.
Le code général des collectivités territoriales consacre le droit des élus d’opposition à s’exprimer dans les supports de communication institutionnelle de la commune, mais la loi est laconique et seule la jurisprudence permet de répondre aux questions pratiques que se posent les maires. Qui sont exactement les bénéficiaires de ce droit ? S’applique-t-il également aux supports numériques, tels que le site internet ou le compte de la ville sur les réseaux sociaux ? Quel volume minimal doit être accordé à l’expression des élus d’opposition ? À quelles conditions le maire peut-il s’opposer à la publication d'une tribune qu’il reçoit ? De quels recours dispose l’opposition en cas de méconnaissance de la loi ? La période préélectorale modifie-t-elle la donne sur tous ces points ?
Autant de questions qui trouveront leur réponse au cours du webinaire organisé par l’APVF et animé par Me Philippe BLUTEAU, avocat au barreau de Paris, associé du cabinet Oppidum Avocats et auteur de l’ouvrage « Les tribunes libres de l’opposition, droits et obligations du maire » (Editions Territorial). Vous pourrez également poser vos questions à l’intervenant au cours de la deuxième partie du webinaire.

Comment l’application mobile a transformé le budget participatif d’une commune de 10 000 habitants ?
Le Beausset, commune varoise de 10 000 habitants, a su faire évoluer son budget participatif grâce à une stratégie numérique efficace. Interview de Marie Vidal-Michel, conseillère municipale en charge du budget participatif de cette commune, membre de l’APVF. Pourquoi avoir misé sur votre application mobile pour accompagner le budget participatif ? Nous avons rapidement compris …
Le Beausset, commune varoise de 10 000 habitants, a su faire évoluer son budget participatif grâce à une stratégie numérique efficace. Interview de Marie Vidal-Michel, conseillère municipale en charge du budget participatif de cette commune, membre de l’APVF.
Pourquoi avoir misé sur votre application mobile pour accompagner le budget participatif ?
Nous avons rapidement compris que pour toucher un maximum de citoyens, il fallait aller là où ils sont : sur leur smartphone. L’application mobile Lumiplan nous permet de centraliser toutes les étapes du budget participatif, du dépôt des projets jusqu’au vote final. C’est un outil à la fois large et de proximité qui vient renforcer nos canaux physiques utilisés pour informer la population et leur permettre de participer (magazine municipal et votes papier).
Quels résultats concrets avez-vous observés ?
Aujourd’hui, 70% des foyers ont téléchargé l’application mobile. En 2024 et 2025, plus de 50 % des votes ont été réalisés via l’application. C’est clairement le canal principal de participation. Sans elle, nous aurions eu bien moins de retours.
Comment l’application facilite-t-elle le processus ?
Elle nous permet de :
- Favoriser la participation pour le dépôt des projets et les votes,
- Expliquer les règles du budget participatif,
- Centraliser les votes,
- Envoyer des notifications pour relancer la participation,
- Créer une tuile dédiée mise à jour régulièrement pour que les habitants puissent suivre les différentes étapes.
Quels types de projets ont été retenus grâce à cette démarche ?
Nous avons vu une belle évolution : aire de musculation pour adultes, aire de jeux pour enfants et espace de détente familial au City stade, végétalisation du centre ancien, parc pour les promeneurs et leurs animaux de compagnie… Des projets concrets, portés par les habitants, qui répondent à leurs besoins.
Comment gérez-vous la validation des projets ?
Les habitants déposent un dossier entre janvier et février. Un comité d’élus examine les propositions en mars, suivi d’un comité technique constitué d’agents. Nous vérifions la faisabilité, le respect de l’enveloppe (passée de 40 000€ en 2024 à 50 000€ en 2025), et l’intérêt général. Certains projets non retenus sont réorientés vers d’autres dispositifs municipaux car la majorité des projets proposés sont pertinents.
Quels autres usages faites-vous de l’application pour favoriser la participation citoyenne ?
Nous l’utilisons aussi pour des sondages. Par exemple, pour choisir le nom du stade de foot et d’athlétisme. Nous sommes aussi très fiers de la possibilité qu’ont désormais les citoyens de faire remonter des signalements de terrain quotidiennement. C’est un excellent outil pour prendre le pouls de la population. Nous ne pouvons être partout, l’application nous aide à mieux entretenir notre commune.
Pourquoi ne pas utiliser les réseaux sociaux comme Facebook ?
Facebook ne garantit pas que les votants soient des résidents. Avec l’application, nous avons une authentification plus fiable. Cela préserve l’intégrité démocratique du vote.
Quel conseil donneriez-vous aux communes qui hésitent à franchir le pas ?
Lancez-vous ! L’application mobile est utile, constructive et favorise la proximité. Elle renforce le lien entre élus et citoyens, tout en dynamisant la vie locale. Au Beausset, elle fait partie des réussites incontestables de notre mandat !

Réforme des fonds de Cohésion : la Confédération des Petites Villes Européennes lance l'alerte !
La Confédération des Petites Villes de l’Union Européenne (CTME), dont l’Association des Petites Villes de France (APVF) est fondatrice, s’est réunie à Paris le 6 novembre dernier. Christophe Rouillon, maire de Coulaines, membre du Bureau de l’APVF en a été élu Président. Outre l’élection de Christophe Rouillon, maire de Coulaines, à la présidence de la …
La Confédération des Petites Villes de l'Union Européenne (CTME), dont l'Association des Petites Villes de France (APVF) est fondatrice, s'est réunie à Paris le 6 novembre dernier. Christophe Rouillon, maire de Coulaines, membre du Bureau de l'APVF en a été élu Président.
Outre l'élection de Christophe Rouillon, maire de Coulaines, à la présidence de la Confédération des Petites Villes de l'Union Européenne (CTME), cette rencontre a été l'occasion d'accueillir un nouveau membre avec l'Union Croate des Municipalités. M. Božo Lasić, vice-président et secrétaire général de l'Union croate des municipalités, est ainsi devenu vice-président de la CTME.
Le Vice-Président du Sénat, Loïc Hervé, Président Délégué de l'APVF, ainsi que Christophe Chaillou, Sénateur du Loiret, membre du Bureau de l'APVF, ont également accueillis les membres de la Confédération au Sénat.
Cette réunion a également été l'occasion de prendre une position ferme sur la réforme de la politique de cohésion présentée par la Commission européenne. En effet, la fusion des fonds structurels européens existants en plans de partenariat nationaux et régionaux entrave le modèle européen de développement social et territorial. Non seulement cette réforme constitue un levier pour réduire le financement global du développement territorial, mais la recentralisation sous-jacente de ces financements menace directement le principe de subsidiarité.
A l'issue des échanges, la Confédération des Petites Villes de l'Union Européenne a adopté les demandes suivantes auprès de la Commission :
- De garantir que le budget de la politique de cohésion après 2027 ne sera pas réduit et de maintenir la part actuelle de ses allocations dans la structure du futur budget européen. La visibilité et un engagement à long terme sont nécessaires pour un investissement local durable.
- De respecter le principe de subsidiarité en maintenant une gestion décentralisée des fonds de cohésion par les autorités locales, et d'accroître le rôle des villes et des municipalités dans la gouvernance afin que les besoins de tous les territoires, urbains, ruraux et d'outre-mer, soient pris en compte. Les libertés locales dans toute l'Europe sont en jeu.
- Maintenir les priorités stratégiques et territoriales des principaux instruments financiers de la politique de cohésion, en particulier le Fonds européen de développement régional (FEDER) et le Fonds social européen (FSE+), ainsi que le programme LEADER.
- Supprimer tous les obstacles administratifs et réglementaires qui pèsent lourdement sur les promoteurs de projets, en particulier dans les petites villes et les communes.
La Confédération des Petites Villes de l'Union Européenne rassemble les associations représentatives des petites villes de France, d'Allemagne, d'Italie, de Hongrie, de Roumanie et désormais de Croatie.

PLF 2026 : Le cout n'a jamais été aussi élevé pour les collectivités
L’APVF, représentée par Daniel Cornalba, maire de L’Étang-la-Ville et membre du Bureau, a été auditionnée dans le cadre d’une table ronde réunissant les associations représentatives des communes, par les rapporteurs spéciaux de la mission « Relations avec les collectivités territoriales » du Sénat, M. Sautarel et Mme Briquet. À cette occasion, l’APVF a rappelé que …
L’APVF, représentée par Daniel Cornalba, maire de L’Étang-la-Ville et membre du Bureau, a été auditionnée dans le cadre d’une table ronde réunissant les associations représentatives des communes, par les rapporteurs spéciaux de la mission « Relations avec les collectivités territoriales » du Sénat, M. Sautarel et Mme Briquet.
À cette occasion, l’APVF a rappelé que les petites villes connaissent depuis plusieurs années une chute nette et continue de leur capacité de financement et de leur fonds de roulement, entraînant un besoin de financement depuis 2023, et ce pour la troisième année consécutive :
– entre 2021 et 2024, la capacité de financement des petites villes est passée de 1,3 milliard d’euros à – 500 millions d’euros (source : OFGL) ;
– sur la même période, le fonds de roulement est passé de 1 milliard d’euros à – 648 millions d’euros (source : OFGL).
Pour 2026, les tendances devraient rester similaires, voire s’aggraver si le PLF 2026 n’est pas profondément revu. L’APVF a alerté sur les conséquences majeures qu’auraient Dilico 2 et la baisse du prélèvement sur les recettes liées aux locaux industriels. Les calculs réalisés pour les membres de son Conseil d’administration montrent que :
– Dilico 2 représenterait 8,107 millions d’euros de pertes ;
– la baisse des allocations de compensation atteindrait 14,86 millions d’euros, sans aucune pondération ni dispositif d’atténuation.
De nombreux élus de petites villes soulignent qu’ils sont actuellement engagés dans un rattrapage de leurs investissements, après les retards provoqués par les crises sanitaire et énergétique.
L’APVF continuera de sensibiliser le gouvernement et les parlementaires. Si la suppression de Dilico 2 n’est pas obtenue, la mesure doit a minima être réduite de moitié. L’association demande également d’annuler la baisse de 25 % de la compensation de l’État liée à l’abattement de CFE et de TFPB pour les locaux industriels, une mesure brutale qui touche plus de la moitié des communes, en particulier les petites villes industrielles.
L’APVF appelle enfin à une revalorisation de la DGF du bloc communal sur la base des prévisions d’inflation, ainsi qu’à la sortie de la DRCTP du champ des variables d’ajustement, cette dernière pesant 1,74 million d’euros pour les communes représentées au sein de son Conseil d’administration.
Dans son intervention, Daniel Cornalba a alerté sur les risques pesant sur le bon fonctionnement des services publics et sur la diminution de la capacité d’action des collectivités territoriales, notamment en matière de logement. Il a souligné que des efforts trop brutaux pourraient fragiliser la France. Il a également insisté sur le besoin de visibilité et de prévisibilité pour les collectivités, confrontées à des règles budgétaires qui évoluent chaque année.

Accès aux soins : feu vert des députés pour le lancement du réseau France Santé
L’Assemblée nationale a adopté la création du réseau France Santé, nouvelle initiative destinée à structurer l’offre de soins de proximité autour de critères renforcés de disponibilité et d’accessibilité. Malgré un investissement de 130 millions d’euros et un objectif de 5 000 structures labellisées à l’horizon 2027, plusieurs groupes parlementaires estiment que cette réponse demeure insuffisante …
L’Assemblée nationale a adopté la création du réseau France Santé, nouvelle initiative destinée à structurer l’offre de soins de proximité autour de critères renforcés de disponibilité et d’accessibilité. Malgré un investissement de 130 millions d’euros et un objectif de 5 000 structures labellisées à l’horizon 2027, plusieurs groupes parlementaires estiment que cette réponse demeure insuffisante face à la progression des déserts médicaux.
Les députés ont validé ce week-end, dans le cadre de l’examen du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), la mise en place du réseau France Santé, présenté par le Premier ministre Sébastien Lecornu comme l’un des leviers du plan gouvernemental pour améliorer l’accès aux soins dans tous les territoires. Le dispositif repose sur une logique de labellisation de structures locales – maisons et centres de santé principalement – auxquelles pourraient s’ajouter, dans certains territoires peu dotés, des pharmacies engagées dans des dispositifs de téléconsultation.
Pour être reconnues « France Santé », ces structures devront respecter un socle d’exigences : présence d’un médecin et d’une infirmière, absence de dépassements d’honoraires, ouverture minimale de cinq jours, et capacité à offrir un rendez-vous en 48 heures à moins de 30 minutes du domicile. Chaque structure certifiée percevra un forfait annuel d’environ 50 000 euros, sur une enveloppe totale de 130 millions d’euros. L’exécutif fixe un calendrier ambitieux : 2 000 structures d’ici l’été 2026, et 5 000 en 2027.
Le gouvernement met en avant un objectif de lisibilité de l’offre pour les usagers, dans un paysage local souvent difficile à appréhender. Toutefois, la mesure fait débat. Si certains élus saluent une étape positive, les groupes de gauche soulignent que la labellisation de structures déjà existantes ne crée pas de nouvelles forces médicales et ne répond donc pas au cœur du problème. Plusieurs parlementaires alertent également sur le risque d’un élargissement trop large du label, intégrant acteurs publics, privés non lucratifs ou lucratifs, susceptible d’alimenter une logique de marchandisation du soin.

PLF 2026 : l’APVF et les associations d’élus mobilisées pour protéger la cohésion sociale
Alors que le débat parlementaire sur le projet de loi de finances pour 2026 se poursuit, l’APVF, aux côtés des autres associations d’élus alerte sur des mesures budgétaires susceptibles d’affaiblir la politique de la ville et la cohésion des territoires. Les associations pointent notamment la hausse des cotisations retraite des agents locaux, la baisse des …
Alors que le débat parlementaire sur le projet de loi de finances pour 2026 se poursuit, l’APVF, aux côtés des autres associations d’élus alerte sur des mesures budgétaires susceptibles d’affaiblir la politique de la ville et la cohésion des territoires.
Les associations pointent notamment la hausse des cotisations retraite des agents locaux, la baisse des dotations aux communes, ainsi que la réduction des crédits pour des dispositifs structurants tels que missions locales, Pass Sport, Pass Culture ou Colos apprenantes. Elles expriment aussi leurs inquiétudes sur le regroupement de plusieurs dotations au sein d’un Fonds d’investissement unique, pouvant nuire à la visibilité des crédits destinés aux quartiers prioritaires.
L’APVF appelle le Gouvernement et le Parlement à consolider les moyens des communes, maintenir une dotation politique de la ville identifiable et renforcer les dispositifs efficaces pour garantir l’égalité de services et de droits sur l’ensemble du territoire.
Pour lire le communiqué complet, cliquez ici.

Le Président de l’APVF devant le congrès de l’ACCD’OM : « On ne peut pas dire qu’on ne savait pas ! »
Christophe Bouillon, président de l’Association des Petites Villes de France (APVF), est intervenu mercredi 12 novembre lors du congrès de l’ACCD’OM, qui se tient à Paris du 12 au 14 novembre, en clôture de la table ronde consacrée aux défis climatiques. À l’issue des interventions portant sur l’accélération du changement climatique dans les outre-mer et …
Christophe Bouillon, président de l’Association des Petites Villes de France (APVF), est intervenu mercredi 12 novembre lors du congrès de l’ACCD’OM, qui se tient à Paris du 12 au 14 novembre, en clôture de la table ronde consacrée aux défis climatiques.
À l’issue des interventions portant sur l’accélération du changement climatique dans les outre-mer et sur ses conséquences sociales et économiques, Christophe Bouillon a déclaré qu’« on ne peut pas dire qu’on ne savait pas ». L’intensification des cyclones, la montée du niveau de la mer, le recul du trait de côte, les sécheresses comme les inondations, ou encore les tensions croissantes sur les ressources en eau, imposent aux élus locaux d’engager des réponses structurelles dans des délais de plus en plus contraints.
Le président de l’APVF s’est particulièrement inquiété de la baisse des crédits liés à la transition écologique dans le projet de loi de finances pour 2026, notamment ceux du Fonds vert, ainsi que, plus largement, des crédits de la mission Outre-mer. Il a en outre rappelé l’importance des agences de l’État — ADEME, ANCT, Office français de la biodiversité — dont les rôles et missions sont actuellement contestés par certains parlementaires.
En conclusion, il a exprimé le soutien et la solidarité de l’ensemble de l’APVF, déjà très présente dans les outre-mer, à l’égard de ses collègues élus ultramarins.

Collecte nationale des Banques Alimentaires avec JeVeuxAider.gouv.fr
JeVeuxAider.gouv.fr, partenaire de l’APVF, participe à la Collecte Nationale des Banques Alimentaires qui aura lieu les 28, 29 et 30 novembre 2025. Pour la 5ème année consécutive, JeVeuxAider.gouv.fr s’associe aux Banques Alimentaires afin de mobiliser des bénévoles et récolter, en 3 jours, 10 100 tonnes de produits alimentaires et d’hygiène, soit l’équivalent de 20 millions …
JeVeuxAider.gouv.fr, partenaire de l'APVF, participe à la Collecte Nationale des Banques Alimentaires qui aura lieu les 28, 29 et 30 novembre 2025.
Pour la 5ème année consécutive, JeVeuxAider.gouv.fr s’associe aux Banques Alimentaires afin de mobiliser des bénévoles et récolter, en 3 jours, 10 100 tonnes de produits alimentaires et d’hygiène, soit l’équivalent de 20 millions de repas (10% de l’approvisionnement des Banques Alimentaires).
Le nombre des personnes en situation de précarité alimentaire a augmenté de 20% en 5 ans. Plus que jamais, nous avons besoin de toutes les bonnes volontés pour soutenir les personnes qui n’ont pas de quoi manger à leur faim.
La Collecte Nationale est LE rendez-vous solidaire des Banques Alimentaires durant lequel plus de 110 000 bénévoles, se mobilisent le temps d’un week-end. Leur mission ? Collecter des denrées alimentaires dans 7465 points de collecte à travers toute la France : magasins, écoles, mairies, entreprises... 2h pour remplir des caddies d’espoir.
