ESPACE MEMBRE

Conclusions du Grand Débat National : les territoires attendent des moyens pour la transition écologique et le pouvoir d’achat des Français !
Plusieurs associations de collectivités et environnementales ont publié lundi denier un communiqué de presse pour réclamer une réponse plus ambitieuse et plus concrète au défi environnemental. La transition écologique a été la grande absente et donc la grande perdante de l’intervention du Président de la République pour clôturer le grand débat alors …
Plusieurs associations de collectivités et environnementales ont publié lundi denier un communiqué de presse pour réclamer une réponse plus ambitieuse et plus concrète au défi environnemental.
La transition écologique a été la grande absente et donc la grande perdante de l’intervention du Président de la République pour clôturer le grand débat alors même que le mouvement des « Gilets jaunes » est parti d’une question environnementale. L’urgence climatique est pourtant aujourd’hui avérée et la France s’éloigne un peu plus chaque jour de l’atteinte de ses objectifs climatiques.
La seule réponse du Président de la République consiste en la création de deux instances de concertation : la création d’un conseil de défense écologique pour opérer des choix stratégiques au niveau interministériel et le tirage au sort de 150 citoyens pour réfléchir à des dispositifs pour soutenir la transition écologique.
Une réponse bien en deçà des enjeux et en en décalage avec les annonces successives du Président de la République sur le climat.
C’est pourquoi ce collectif d'association réclame l’affectation d’une part significative des recettes de la fiscalité écologique aux territoires et plus de moyens pour soutenir la rénovation énergétique des bâtiments.
Retrouvez l’intégralité du communiqué de presse en cliquant ici

L'APVF présente au lancement de la mobilisation nationale et territoriale pour l'emploi et les transitions écologique et numérique
L’APVF, représentée par son Secrétaire général Loïc Hervé, a participé le lundi 6 mai dernier à la réunion de lancement de la mobilisation nationale et territoriale pour l’emploi et les transitions écologique et numérique. Loïc Hervé, Sénateur de Haute-Savoie et Secrétaire général de l’APVF, a représenté notre association le lundi 6 mai à Matignon à la …
L'APVF, représentée par son Secrétaire général Loïc Hervé, a participé le lundi 6 mai dernier à la réunion de lancement de la mobilisation nationale et territoriale pour l'emploi et les transitions écologique et numérique.
Loïc Hervé, Sénateur de Haute-Savoie et Secrétaire général de l'APVF, a représenté notre association le lundi 6 mai à Matignon à la réunion de lancement de la mobilisation nationale et territoriale pour l'emploi et les transitions écologique et numérique présidée par le Premier ministre.
Cette réunion s'est déroulée en présence des associations d'élus, des syndicats et du patronat. Il s'agissait de rénover, après plusieurs années de crise sociale, avec les corps intermédiaires, et d'impliquer les territoires autour des thématiques de l'apprentissage, des emplois non pourvus, des freins à la reprise de l'emploi et l'accompagnement des territoires aux transitions écologique et numérique.
Le débat a également porté sur la question plus spécifique de la "prime mobilité" et son caractère obligatoire, différentiée ou non. Intervenant au nom de l'APVF, Loïc Hervé a rappelé l'importance des questions de mobilité et de déplacements pour les petites villes et leurs résidents, mais a également attiré l'attention du Gouvernement sur la question de la fracture numérique (encore trop de zones grises) et surtout sur l'impérieux besoin de solidarité territoriale au sujet de laquelle l'APVF réitère sa proposition de création d'un fonds national de solidarité territoriale financé par les métropoles, l'Etat et l'Europe, à destination des ses territoires les plus fragiles.

Solidarité territoriale : le Président de l'APVF écrit au Premier ministre
Le Président de l’APVF Christophe Bouillon a écrit au Premier ministre, le 9 mai 2019, afin de rappeler que pour répondre à « l’exigence de proximité et de lien quotidien » exprimée par un grand nombre de citoyens dans le cadre du Grand débat national, l’APVF porte la proposition de créer Fonds national de solidarité territoriale. Le Président de …
Le Président de l'APVF Christophe Bouillon a écrit au Premier ministre, le 9 mai 2019, afin de rappeler que pour répondre à « l’exigence de proximité et de lien quotidien » exprimée par un grand nombre de citoyens dans le cadre du Grand débat national, l'APVF porte la proposition de créer Fonds national de solidarité territoriale.
Le Président de l'APVF Christophe Bouillon a écrit au Premier ministre Edouard Philippe en réaction à son discours de clôture du Grand débat national du 8 avril dernier. Une partie de l'intervention du Premier ministre avait en effet particulièrement retenu l’attention des élus de l’APVF. Il s’agit de « l’exigence de proximité et de lien quotidien » qui est fortement remontée de la part de nos concitoyens de la France périphérique et des petites villes. Edouard Philippe avait ainsi évoqué le sentiment d’abandon, parfois d’isolement et de manque de considération, que ressentent un certain nombre de nos concitoyens.
Pour y remédier, le Premier ministre a suggéré de rétablir l’équilibre entre les grandes métropoles et les communes petites et moyennes se trouvant à l’extérieur de ces grands ensembles. Ce diagnostic correspond exactement à celui fait par l’APVF. Notre association a été, en janvier dernier, la première des associations d’élus, dans le cadre du Grand débat, à faire parvenir au Gouvernement sa propre contribution à la réduction des fractures territoriales et sociales.
L'APVF y aborde, entre autres, les questions de mobilité, d’offre de soins, de revitalisation des centres-bourgs, mais également l’impérieuse nécessité de mettre en œuvre de nouveaux mécanismes de solidarité entre les métropoles et le reste du territoire. Les élus des petites villes sont partis du constat que la « richesse » des métropoles ne se diffuse que très imparfaitement, que les contrats de réciprocité n’ont été mis en œuvre que dans très peu de régions, et qu’il était donc temps, au-delà des discours sur l’alliance des territoires, que les principaux gagnants de la métropolisation contribuent également au développement du reste du territoire.
Dans cette perspective, l’APVF a proposé la création d’un Fonds national de solidarité territoriale alimenté par les métropoles (à proportion de leur richesse fiscale notamment), par l’Etat et par l’Europe, et ciblé régionalement sur des projets relevant de la mobilité, de la couverture numérique des territoires ou de l’attractivité économique. Il s’agit tout simplement de faire en sorte qu’une partie des habitants de la France périphérique, qui travaille et participe quotidiennement au développement économique des métropoles, puisse profiter également d’une meilleure redistribution des richesses dans les territoires où ils vivent.

Loïc Hervé désigné rapporteur du projet de loi "Fonction publique"
Loïc Hervé, Sénateur de Haute-Savoie et Secrétaire général de l’APVF, a été désigné rapporteur sur le projet de loi de transformation de la fonction publique. Alors que l’examen du projet de loi de transformation de la fonction publique débute en séance publique le lundi 13 mai prochain à l’Assemblée nationale , la commission des lois du Sénat …
Loïc Hervé, Sénateur de Haute-Savoie et Secrétaire général de l'APVF, a été désigné rapporteur sur le projet de loi de transformation de la fonction publique.
Alors que l'examen du projet de loi de transformation de la fonction publique débute en séance publique le lundi 13 mai prochain à l'Assemblée nationale , la commission des lois du Sénat a désigné le mardi 7 mai Loïc Hervé, Sénateur de Haute-Savoie et Secrétaire général de l'APVF, ainsi que Catherine Di Folco, Sénatrice du Rhône, comme rapporteurs sur le projet de loi de transformation de la fonction publique.

Inscrivez-vous au Printemps des Territoires !
La Banque des Territoires vous convie au Printemps des Territoires, qui se tiendra le jeudi 6 juin 2019 au Centquatre à Paris. Un événement pour construire ensemble les territoires de demain et apporter des solutions concrètes pour le financement de tous les projets. Le Printemps des Territoires, organisé par la Banque des Territoires le jeudi 6 juin …
La Banque des Territoires vous convie au Printemps des Territoires, qui se tiendra le jeudi 6 juin 2019 au Centquatre à Paris. Un événement pour construire ensemble les territoires de demain et apporter des solutions concrètes pour le financement de tous les projets.
Le Printemps des Territoires, organisé par la Banque des Territoires le jeudi 6 juin prochain, sera l’occasion de :
- S’inspirer
- Avec des intervenants en plénière pour voir et penser autrement les territoires de demain
- Comprendre
- Lors de masterclass et pitch pour comprendre, débattre et oser poser des questions
- Partager
- Autour d’échange entre pairs, de découverte de réalisations, des nouveaux projets, des innovations
- Connecter
- En rencontrant les Directions Régionales de la Banque des Territoires et ses partenaires du développement
Pour vous inscrire, merci de cliquer ici.

Congrès national de Sites et Cités remarquables de France les 16 et 17 mai 2019 à Figeac
Sites & Cités remarquables organisera son prochain Congrès national les 16 et 17 mai prochains à Figeac (Lot) autour du thème “Patrimoines et revitalisation”. Le congrès national de Sites et Cités remarquables de France se tiendra les 16 et 17 mai 2019 à Figeac (Lot). Ce congrès est organisé en partenariat avec la ville de …
Sites & Cités remarquables organisera son prochain Congrès national les 16 et 17 mai prochains à Figeac (Lot) autour du thème "Patrimoines et revitalisation".
Le congrès national de Sites et Cités remarquables de France se tiendra les 16 et 17 mai 2019 à Figeac (Lot). Ce congrès est organisé en partenariat avec la ville de Figeac et le Grand Figeac. L’assemblée générale de l’association se tiendra la veille, le 15 mai à Figeac.
La revitalisation par les Patrimoines sera cette année encore au cœur du congrès de” Sites et Cités Remarquables de France”.
Depuis 20 ans, l’association Sites & Cités remarquables affirme sans relâche la place essentielle du Patrimoine parmi les outils de reconquête des villes anciennes et de réduction des fractures territoriales. Le sujet n’est pas nouveau. Il a seulement atteint le seuil de la lisibilité pour ceux qui se refusaient à voir. Le thème sera, en profondeur celui des journées figeacoises.
Habitat et développement durable, espaces publics, commerces, services, communications, culture, patrimoine, la ville est indivisible. Le Patrimoine en constitue le mortier et dessine son identité. Le mettre en valeur et l’animer, c’est engager la reconquête ou lui donner un nouveau souffle.
Pour en savoir plus et vous inscrire, merci de cliquer ici.

Candidatez aux prix décernés par la Fédération européenne des capitales et des villes sportives !
La Fédération européenne des capitales et des villes sportives (ACES Europe) est une association basée à Bruxelles qui attribue chaque année depuis 2001 les distinctions de Capitale européenne de sport ainsi que Cité européenne de sport, Communauté européenne de sport et Ville européenne de sport. La Fédération européenne des capitales et des villes sportives (ACES …
La Fédération européenne des capitales et des villes sportives (ACES Europe) est une association basée à Bruxelles qui attribue chaque année depuis 2001 les distinctions de Capitale européenne de sport ainsi que Cité européenne de sport, Communauté européenne de sport et Ville européenne de sport.
La Fédération européenne des capitales et des villes sportives (ACES Europe) est une association à but non-lucratif basée à Bruxelles qui attribue chaque année depuis 2001 les distinctions de Capitale européenne de sport ainsi que Cité européenne de sport, Communauté européenne de sport et Ville européenne de sport. Elle attribue des prix conformément aux principes de la responsabilité et de l’éthique, reconnaissant que le sport est un facteur d’agrégation sociale, d’amélioration de la qualité de la vie, de bien-être psychophysique et d’intégration.
ACES Europe est reconnue par la Commission européenne dans le Livre blanc sur le sport de 2007 (Art.50). L'association célèbre chaque année la cérémonie de remise des prix au Parlement européen en présence de toutes les villes, maires, autorités, députés européens et du commissaire européen de sport, M. Tibor Navracsics.
Titres :
Capitale européenne du sport, 1 accordé par an à une capitale d'un pays ou à une ville de plus de 500 000 habitants.
Cité européenne du sport, plusieurs accordés dans toute l’Europe par an pour des villes comprises d’entre 25 000 et 500 000 habitants.
Communauté européenne du sport, un maximum de deux accordés dans toute l’Europe par an pour des groupes de villes.
Ville européenne du sport, plusieurs récompenses à travers l’Europe par an pour des villes de moins de 25 000 habitants.
Pour commencer la procédure officielle, la première étape consiste à recevoir une lettre d'intention du maire de la ville demandant à être candidat.
Pour plus d'informations, merci de vous rendre sur le site internet d'ACES Europe : www.aceseurope.eu

Projet de loi fonction publique : les amendements adoptés à l’Assemblée nationale
Le projet de loi de transformation de la fonction publique est en cours de discussion à l’Assemblée nationale. Certains amendements déposés par Emilie Chalas, députée de l’Isère, rapporteure sur le texte, qui répondent à quelques-unes des propositions de la Coordination des employeurs publics territoriaux, ont été adoptés en commission. Etat des lieux. Les Centres de …
Le projet de loi de transformation de la fonction publique est en cours de discussion à l’Assemblée nationale. Certains amendements déposés par Emilie Chalas, députée de l’Isère, rapporteure sur le texte, qui répondent à quelques-unes des propositions de la Coordination des employeurs publics territoriaux, ont été adoptés en commission. Etat des lieux.
Les Centres de gestion :
Les missions confiées aux centres de gestion au niveau régional ont été étoffées (6 nouvelles missions : art 19) afin de renforcer leur rôle de coordination ainsi que les mutualisations de services.
Pour l’exercice de l’ensemble de leurs missions organisées à ce niveau, les centres de gestion élaborent, en l’état actuel du droit, une charte qui désigne le centre chargé de la coordination et qui détermine les modalités d’exercice des missions gérées en commun. Un amendement propose de remplacer la charte par un schéma régional ou interrégional de coordination, de mutualisation et de spécialisation (art. 19). Cet amendement répond à une proposition de la Coordination des employeurs territoriaux relative au libre-choix de regroupement des centres de gestion.
Le Centre National de la Fonction Publique Territoriale :
« Pour permettre une meilleure efficacité et synergie de l’action des deux réseaux compétents dans le domaine des ressources humaines pour la fonction publique territoriale », un amendement propose l’obligation pour le centre de gestion coordonnateur à un niveau au moins régional et le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT), de signer une convention afin d’articuler leur actions territoriales, notamment s’agissant des concours et examens, du reclassement des fonctionnaires et de l’accompagnement à la mobilité. Un bilan annuel de ces conventions devrait être présenté à la conférence régionale de l’emploi (art. 19).
Les instances paritaires et le dialogue social :
Conformément aux propositions de la Coordination, la commission des lois a simplifié la composition des CCP et instauré une CCP unique par collectivité.
Les comités sociaux voient leurs missions élargies à l’égalité professionnelle et à la lutte contre les discriminations.
Les lignes directrices de gestion
La portée des lignes directrices de gestion établies par les autorités compétentes au sein des trois versants a été renforcée : elles déclineront la stratégie pluriannuelle de pilotage des ressources humaines et la gestion prévisionnelles des emplois et des compétences. Cet logique transversale devant permettre, selon l’exposé sommaire de l’amendement, « d'anticiper efficacement les multiples évolutions auxquelles seront confrontés les services publics au cours des prochaines années » (art. 14).
Les modalités de consultation des comités sociaux territoriaux (CST) des collectivités affiliées au centre de gestion sur les lignes directrices de gestion établies en matière de promotion interne seront précisées par décret. L’idée étant de solliciter leur avis préalablement à celui rendu par le CST du centre de gestion (art 14).
La contractualisation :
Le Projet de loi de transformation de la fonction publique étend le recours aux agents contractuels pour les emplois fonctionnels (DGS, directeurs adjoints) dans les collectivités de plus de 40 000 habitants.
Plusieurs amendements sont venus préciser les modalités de ces contrats : d’une part, ces contrats ne donnent pas droit à CDIsation (art. 7). D’autre part, des décrets seront pris afin de fixer un montant plancher de l’indemnité spécifique de rupture conventionnelle (art. 7), de fixer les modalités de ces recrutements, voire de préciser les missions des DGS, comme le proposait le SNDGCT (art. 7).
S’agissant des « contrats de projet », un amendement a proposé d’introduire la nécessité pour l'employeur de respecter un délai de prévenance fixé par décret avant l'échéance du contrat de projet, « afin de garantir à l'agent une visibilité sur le terme de sa mission ». Cette disposition s'inspire du droit applicable dans le secteur privé tel.
Egalité professionnelle et lutte contre les discriminations :
Un amendement a proposé d’exonérer du jour de carences les fonctionnaires pendant leur grossesse.
Haute fonction publique
Deux amendements ont pour objet de mieux encadrer les rémunérations des hauts fonctionnaires des trois versants.
Enfin, la Commission des lois a décidé de limiter les cumuls de rémunération ou les cumuls rémunération/pension de retraite pour certains hauts fonctionnaires.
Téléchargez le texte de la commission des lois en cliquant ici.

Transition écologique : la petite loi énergie enfin présentée en Conseil des Ministres
Après avoir revu sa copie, le Gouvernement a présenté le mardi 30 avril en Conseil des Ministres son nouveau projet de « petite loi énergie ». La petite loi énergie doit permettre de modifier certaines dispositions de la loi de transition énergétique. La petite loi énergie vient tout d’abord modifier les objectifs climatiques français : Baisse …
Après avoir revu sa copie, le Gouvernement a présenté le mardi 30 avril en Conseil des Ministres son nouveau projet de « petite loi énergie ». La petite loi énergie doit permettre de modifier certaines dispositions de la loi de transition énergétique.
La petite loi énergie vient tout d’abord modifier les objectifs climatiques français :
- Baisse de la consommation énergie primaire d’origine fossile de 30 à 40 % d’ici 2030 par rapport à 2012 ;
- Report à 2035 au lieu au de 2025 de l’objectif de 50 % d’électricité d’origine nucléaire dans le mix électrique, contre 75 aujourd’hui ;
- Précision quant à l’objectif de neutralité carbone. La réduction des émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2050 n'est plus d'un facteur 4 mais d'un facteur 6 "au minimum" ;
- Baisse de 20 % de la consommation énergétique d’ici 2030 contre 17 prévue par le 1er projet de petite loi ;
Elle prévoit également la création d’un Haut Conseil pour le Climat qui émettra un avis non contraignant sur la stratégie climatique française.
Sur la question des centrales thermiques situées en métropole, la petite loi ne fixe pas de date de fermeture mais met en place un plafond annuel d’émission de carbone pour chaque unité à partir du 1er janvier 2022. Le Gouvernement souhaite ainsi rendre la production de charbon perdante économiquement obligeant ainsi les entreprises à fermer leurs centrales. Cette méthode permet d’éviter le risque d’indemnisation financière lié aux fermetures administratives.
L’article 5 renforce par ailleurs le dispositif de certificat d’économie d’énergie avec des nouvelles mesures de contrôle et la mise en place de sanctions en cas de non-respect des obligations de déclaration.
Enfin, le dernier article modifie le fonctionnement de la CRE (Commission de régulation de l'énergie) et de l’ARENH (L'accès régulé à l'énergie nucléaire historique)
La petite loi énergie sera présentée à l’Assemblée nationale le 24 juin prochain.
Des évolutions nécessaires qui demeurent insuffisantes pour l’APVF. L’Association déplore une nouvelle fois l’absence de réponse concrète à l’urgence climatique et l’absence de dispositions relatives au financement de la transition écologique dans ces territoires.
Retrouvez l'intégralité de la petite loi en cliquant ici

Ouvrages d’art routiers : l’APVF partenaire de la journée d’étude de Techni Cités
L’APVF est partenaire de la journée d’étude sur les ouvrages d’Art Routiers : gestion et entretien : comment concilier responsabilités et travaux organisée le jeudi 23 mai prochain à Paris. Plusieurs élus locaux dont Pierre Jarlier, Maire de Saint Flour et Président délégué de l’APVF, échangeront sur le sujet essentiel des ponts routiers. Financement, …
L’APVF est partenaire de la journée d’étude sur les ouvrages d’Art Routiers : gestion et entretien : comment concilier responsabilités et travaux organisée le jeudi 23 mai prochain à Paris.
Plusieurs élus locaux dont Pierre Jarlier, Maire de Saint Flour et Président délégué de l’APVF, échangeront sur le sujet essentiel des ponts routiers. Financement, régime juridique, rôle de l’Etat concernant les ouvrages d’art seront notamment abordés lors de cette journée. Dans un contexte budgétaire toujours plus difficile, les collectivités doivent en effet faire face à des ouvrages d’art vieillissants. Cette journée doit ainsi permettre d’apporter des éclairages sur un sujet aussi complexe que passionnant.
Pour vous inscrire cliquez ici